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Anciens Appels à soumissions

Technologies pour l’apprentissage de l’Informatique de la maternelle à l’université

Les Technologies Positives pour l’Apprentissage

Compétences des enseignants face aux environnements mobiles connectés

Recherches actuelles sur les MOOC (ou CLOM, Cours en Ligne Ouverts et Massifs)

Enseigner, accompagner, apprendre, quels changements à l’heure d’Internet ?

Les environnements personnels d’apprentissage. Entre description et modélisation : quelles approches, quels modèles ?

Evaluation dans les jeux sérieux

Recherches en EIAH, politiques publiques,
pratiques des acteurs (et des chercheurs)

Artefacts tactiles et mobiles en éducation

Individualisation, personnalisation et adaptation des Environnements Numériques d’Apprentissage

Technologies mobiles et ubiquitaires pour l'apprentissage

Analyses des traces d’utilisation dans les EIAH

Les Dimensions émotionnelles de l'interaction dans un EIAH

Généralités et Spécificités des Méthodes de Recherche en EIAH

Conceptions et usages des plates-formes de formation

Que signifie l’ontologie pour les EIAH ?

Technologies et formation à distance


Les technologies positives pour l’apprentissage

 

Editeurs du numéro spécial

Gaëlle Molinari (gaelle.molinari@unige.ch)
Elise Lavoué (elise.lavoue@univ-lyon3.fr)
Fabien Fenouillet (fabien.fenouillet@parisnanterre.fr)

Soumission

  • Déclaration d’intention aux coordinateurs : 07 décembre 2019.

  • Date limite de soumission : 17 mars 2020.

  • Parution prévue : au fil de l’eau à partir de l’été 2020.

Les contributions sollicitées pourront être des articles de recherche (entre 15 et 30 pages) et des rubriques (entre 10 et 12 pages). Les rubriques pourront être des articles de positionne- ment sur le thème du numéro spécial.
La déclaration d’intention sera d’une page maximum, synthétisant le contexte, la pro- blématique, les objectifs et les principaux apports de l’article. Elle sera envoyée par email aux co-éditeurs du numéro spécial.
Les contributions seront soumises sur le site http://atief.fr/soumission-sticef/. Les auteurs trouveront sur le site de la revue (www.sticef.org) des précisions sur le format des soumissions et sur la politique éditoriale de la revue.

 

Thème

Les technologies positives sont un axe de recherche dont l’objectif est la conception et l’usage de technologies numériques pour « manipuler et améliorer les caractéristiques de notre expérience personnelle » (Gaggioli, Riva, Peters, & Calvo, 2017, p. 493). Un des ancrages théoriques de cet axe est le courant de la psychologie positive dont un des actes fondateurs est l'article de Seligman et Csikszentmihalyi (2000). La visée de la psychologie positive est de rendre compte des processus et des facteurs qui contribuent à l’épanouissement et au fonctionnement optimal (Gable & Haidt, 2005). Dans l’axe des technologies positives, les émotions, et plus particulièrement les émotions positives, sont considérées comme but de conception et comme facteur d’usage (Hassenzahl & Tractinsky, 2006). Ainsi, Gaggioli et collaborateurs distinguent trois catégo- ries de technologies positives : des technologies dont le but est de générer des expériences positives et agréables (visée hédonique) ; des technologies qui permettent aux individus de vivre des expériences engageantes, valorisantes et épanouissantes (visée eudémonique) ; et des technologies pour favoriser les relations interpersonnelles et l’intégration sociale (visée sociale).
Parmi les questions vives qui traversent le monde de l’Éducation se pose celle de la façon de favoriser le bien-être mais également celle de la prise en compte des émotions, de l’engage- ment, de la persévérance, du pouvoir d’agir et plus globalement de la motivation des apprenants. On parle ainsi de « tournant émotionnel » au sein des sciences humaines et sociales (Virat & Lenzi, 2018, p.1). Ce regain d’intérêt pour le sensible s’explique notamment par la mise en évidence, ces dix dernières années, du rôle déterminant de l’émotion et de la motivation dans les processus d’apprentissage (Boekaerts, 2010).
Ce numéro spécial se propose de contribuer à l’émergence d’un nouvel axe de recherche, celui des technologies positives pour l’apprentissage. Plusieurs finalités peuvent être associées à ces technologies comme augmenter le potentiel des apprenants ou promouvoir une expérience positive d’apprentissage.
Ce numéro spécial fait suite à celui édité en 2007 par Nkambou, Delozanne et Frasson sur « les dimensions émotionnelles de l’interaction dans un EIAH ». Il sera l’occasion de faire un bilan des recherches menées depuis sur la question de la prise en compte des émotions et de la moti- vation dans les EIAH. Nous nous intéresserons ainsi à l’évolution des enjeux théoriques, méthodologiques et pédagogiques rattachés à cette question. Nous souhaitons par ailleurs que les contri- butions puissent porter sur la conception de technologies positives pour l’apprentissage, et no- tamment s’interroger sur : 1) la spécificité de ces technologies ; 2) les objectifs et contraintes associés à leur conception ; 3) les données à collecter, la façon de les analyser et les représenter dans les EIAH ; et 4) les questions éthiques posées par la collecte des données émotionnelles et motivationnelles. Enfin, l’objectif à travers les contributions, est de rendre compte des usages et impacts des technologies émotionnelles et motivationnelles sur les apprenants et les enseignants.

Références

Boekaerts, M. (2010). Motivation et émotion : deux piliers de l’apprentissage en classe. In H. Du- mont, D. Istance, & F. Benavides (Eds.), Comment apprend-on? La recherche au service de la pratique (pp. 97-119). Editions OCDE.

Gable, S. L., & Haidt, J. (2005). What (and why) is positive psychology?. Review of general psycho- logy, 9(2), 103-110.

Gaggioli, A., Riva, G., Peters, D., & Calvo, R. A. (2017). Positive technology, computing, and desi- gn: shaping a future in which technology promotes psychological well-being. In Emotions and affect in human factors and human-computer interaction (pp. 477-502). Academic Press. http:// dx.doi.org/10.1016/B978-0-12-801851-4.00018-5.

Hassenzahl, M., & Tractinsky, N. (2006). User experience-a research agenda. Behaviour & informa- tion technology, 25(2), 91-97.

Nkambou, R., Delozanne, É., & Frasson, C. (2007). Les dimensions émotionnelles de l’interaction dans un EIAH. Revue des Sciences et Technologies de l’Information et de la Communication pour la Formation (STICEF), 14.

Seligman, M. E., & Csikszentmihalyi, M. (2000). Positive psychology: An introduction (Vol. 55, No. 1, p. 5). American Psychological Association.

Virat, M., & Lenzi, C. (2018). La place des émotions dans le travail socio-éducatif. Sociétés et jeu- nesses en difficulté. Revue pluridisciplinaire de recherche, 20. Mis en ligne le 30 septembre 2018. URL : http://journals.openedition.org/sejed/8925.

 

Les auteurs trouveront sur le site de la revue des précisions sur le format des soumissionset sur la politique éditoriale de la revue.

 


Compétences des enseignants face aux environnements mobiles connectés

Editeurs du numéro spécial

Pierre-André CARON (pierre-andre.caron@univ-lille1.fr)
Aurélien Fiévez (aurelien.fievez@gmail.com)

Soumission

Les contributions doivent être soumises sur le site http://atief.fr/soumission-sticef/
avant le 15 janvier 2018

 

Thème

L'essor du numérique touche tous les domaines de nos sociétés et le milieu de la formation n'y fait pas exception. L'émergence des usages “ en mobilité ” questionne la dimension posturale des enseignants et formateurs en induisant un ensemble de compétences lié à leur pratique professionnelle.
Aussi la multiplication des artefacts tels que les tablettes, smartphones, ordinateurs portables, bracelets connectés et autres outils mobiles influencent les pratiques liées au numérique en contexte d'apprentissage dit “ ubiquitaire ”. Les recherches démontrent que ces appareils facilitent l'accès à l'information pour tous les acteurs, dans tous les lieux et à tous les instants. Ce phénomène interroge les mécanismes mis en place par les apprenants, mais aussi par les enseignants. L'agentivité au regard de ces environnements innovants se trouve ainsi renouvelée et participe à la construction d'une nouvelle identité professionnelle. Ce numéro spécial a pour but de questionner les enjeux récents de cette nouvelle professionnalisation à l’ère du tout connecté et d’identifier les nouvelles pratiques professionnelles induites par l’usage ou non d’artefacts spécifiques pour un enseignement et/ ou une formation en contexte ubiquitaire.
Ce numéro vise à réunir des contributions de praticiens, chercheurs, formateurs, de toutes disciplines qui interrogent l’impact avéré ou potentiel des ingénieries et des cadres théoriques développés autour du sujet. La pluralité et l’hétérogénéité des recherches concernent à la fois les concepteurs, les apprenants, les formateurs et les enseignants. Elles mettent en évidence des thèmes et concepts communs au sein d’une réflexion sur les sciences de l’éducation, l’informatique et le numérique. C’est à travers cette réflexion que les éditeurs de ce numéro spécial souhaitent interroger plus généralement les transformations instrumentales, structurelles, professionnelles et organisationnelles liées aux nouvelles caractéristiques ubiquitaires des outils connectés pour les formateurs.
Ce numéro se situe ainsi dans la continuité de trois numéros spéciaux parus dans la revue STICEF : le numéro “ Les environnements personnels d’apprentissage ”, le numéro “ Artefacts tactiles et mobiles en éducation ” et le numéro “ Enseigner, accompagner, apprendre, quels changements à l’heure du numérique ? ”.

Nous attendons des articles de recherche, mais aussi des points de vue, des prises de position qui pourront être publiés sous forme de rubriques.

Calendrier et format des propositions

Envoi souhaité d’un résumé (intention de soumission) aux coordinateurs :
15 décembre 2017

Date limite de réception des propositions : 15 janvier 2018

Parution prévue: septembre 2018

Les articles de recherche comprennent entre 15 et 30 pages et les rubriques entre 10 et 15.

 

Recherches actuelles sur les MOOC (ou CLOM, Cours en Ligne Ouverts et Massifs)

Editeurs du numéro spécial

Éric Bruillard
(eric.bruillard@stef.ens-cachan.fr)

Jean-Marie Gilliot

(jm.gilliot@telecom-bretagne.eu)

Soumission

Les contributions doivent être soumises sur le site http://atief.fr/soumission-sticef/
avant le 24 juin 2016

 

Thème

Depuis 2011, le phénomène Mooc a connu un développement important. Ces cours en ligne ont évolué, se sont diversifiés, à la fois dans leur conception et dans les publics visés. Dès 2012, deux rubriques avaient été publiés dans STICEF (Rosselle, 2012 ; Cisel et Bruillard, 2012), fournissant de premiers repères sur ces nouveaux cours en ligne. Les Mooc étaient à l’époque en période d’émergence et les recherches encore balbutiantes. Il semble que le moment est venu de faire un point sur les recherches qui leur sont consacrées et l’objectif de ce numéro spécial est de faire un état des lieux le plus complet possible sur la question.

Comprendre et analyser ces formations de type Mooc peut se faire en adoptant des points de vue très divers, aussi nous proposons une liste non limitative de thèmes qui nous intéressent :

• Mooc dans l’offre de formation : politique des établissements de formation, formation professionnelle, formation tout au long de la vie, questions économiques et politiques, impacts

• Evaluations, certifications, badges, diplômes, corrections par les pairs, corrections automatisées

• Typologie des Mooc, formes pédagogiques, réseaux sociaux, projets, tutorats, travaux collectifs

• Conceptions et concepteurs de Mooc, tableaux de bord, outils de visualisation et de suivi, nouvelles pratiques

• Caractéristiques des participants aux Mooc : intentions, comportements, apprentissages ; modes de travail individuels et collectifs

• Mooc et personnalisation, apprentissage adaptatif, systèmes de recommandation,

• Méthodes de recherche, learning analytics et outils d’analyse, visualisation des données

Nous attendons des articles de recherche, mais aussi des points de vue, des prises de position qui pourront être publiés sous forme de rubriques.

Calendrier et format des propositions

Envoi souhaité d’un résumé (intention de soumission) aux coordinateurs : 2 mai 2016

Date limite de réception des propositions : 24 juin 2016

Parution prévue: fin 2016

Les articles de recherche comprennent entre 15 et 30 pages et les rubriques entre 5 et 10.

Un séminaire sera organisé à l’ENS Cachan les 24 et 25 mai 2016. Ce sera l’occasion de présenter oralement des contributions et d’en discuter, avant de soumettre un article ou une rubrique.

Enseigner, accompagner, apprendre, quels changements à l’heure d’Internet ?

Editeurs du numéro spécial

François-Xavier Bernard
(fx.bernard@parisdescartes.fr)

Laetitia Boulc’h
(laetitia.boulc-h@parisdescartes.fr)

Georges-louis Baron
(georges-louis.baron@paris5.sorbonne.fr)

Soumission

Les textes destinés à la revue, doivent faire entre 7000 et 9000 mots (maximum 30 pages), ils peuvent avoir la forme d'un article scientifique, d'une rubrique ou d'une note de synthèse. Un comité de lecture spécifique à ce numéro thématique est constitué avec les relecteurs habituels de la revue. Chaque article sera relu par un relecteur au profil informatique et par un relecteur au profil Science Humaines.


Si vous souhaitez contribuer, merci d'envoyer rapidement (avant le 8 avril 2015) une déclaration d’intention aux coordinateurs du numéro

Les contributions finales devront être déposées, avant le 15 mai 2015, sur la nouvelle plate-forme http://atief.imag.fr/soumission-sticef.

 

Les auteurs trouveront sur le site de la revue des précisions sur le format des soumissionset sur la politique éditoriale de la revue.

 

Thème

La cinquième édition du colloque JOCAIR (Journées communication et apprentissages instrumentés en réseau) a mis l’accent sur les dispositifs actuels d’enseignement et de formation à distance, les MOOCs et les classes virtuelles tout particulièrement.
Il a permis d'échanger sur les nouvelles formes de relations entre acteurs de l'éducation, en particulier en milieu scolaire, quand la communication entre eux est instrumentée. Comment s'organise notamment ce qui relève du contrôle et de l'accompagnement de l'action enseignante, tant en termes de rapports hiérarchiques que d'action collaborative ? Ces questions insistantes sont traitées par des recherches inscrites dans différents champs disciplinaires.
L'appel à contributions pour ce numéro spécial vise à élargir le questionnement du colloque à ce qui concerne les réorganisations de la relation pédagogique dans un contexte de communication instrumentée. On s'intéresse également aux modifications se produisant tant dans le registre des pratiques des formateurs que dans celui des conduites des apprenants.


Des contributions de recherche sont notamment attendues sur les sujets suivants :
Nouvelles figures d’autorité à l’heure d’Internet : rôle et place de l’enseignant ; nature de l’accompagnement ; nature des interactions
Dispositifs instrumentés et ressources numériques : plateformes d’enseignement à distance ; modèles et conception de scénarios pédagogiques ; impact sur les apprentissages et sur les apprenants.

 

Modèle de soumission : http://sticef.univ-lemans.fr/info/consignes.htm

Les environnements personnels d’apprentissage.
Entre description et modélisation : quelles approches, quels modèles ?

Editeurs du numéro spécial

Daniel Peraya
(TECFA, Unige, daniel.peraya@unige.ch)

Bernadette Charlier
(Didactique universitaire, Unifr, bernadette.charlier@unifr.ch)

France Henri
(LICEF, Télé-université du Québec, France.henri@teluq.ca)

Monique Grandbastien
(LORIA, Université de Lorraine monique.grandbastien@loria.fr)

Soumission

Les textes destinés à la revue, doivent faire entre 7000 et 9000 mots (maximum 30 pages), ils peuvent avoir la forme d'un article scientifique, d'une rubrique ou d'une note de synthèse. Un comité de lecture spécifique à ce numéro thématique est constitué avec les relecteurs habituels de la revue. Chaque article sera relu par un relecteur au profil informatique et par un relecteur au profil Science Humaines.


Si vous souhaitez contribuer, envoyez une intention de soumettre avec résumé à D. Peraya (daniel.peraya@unige.ch) avant le 15 octobre

 

Les auteurs trouveront sur le site de la revue des précisions sur le format des soumissions et sur la politique éditoriale de la revue.

 

Thème

Les environnements virtuels d’apprentissage déployés dans l’enseignement supérieur ont connu une importante évolution, depuis les premiers serveurs web éducatifs (1994) jusqu’aux campus virtuels et aux plateformes dans le début des années 2000. L’apparition du web 2.0 (2004) − le web social et collaboratif − a modifié les usages, introduisant de nombreuses applications orientées utilisateurs: ces « services » de communication, de collaboration, de réseautage, de partage et d’échange sont personnalisables, modulaires, conviviaux, gratuits, facilement accessibles, flexibles. Ils s’appuient de plus sur les technologies nomades (téléphone intelligent, tablette, informatique en nuage). Les étudiants universitaires assemblent et aménagent ce type d’environnement pour organiser leur travail, soit en complément de l’environnement institutionnel soit directement en lieu et place de celui-ci (Greenhow, Robelia & Hugues, 2009 ; Dede, 2009 ; Bonfils et Peraya, 2010 ; Peraya et Bonfils, 2012). Un nouveau concept proposé par des informaticiens (Attwell, 2007) est exploré par des chercheurs en sciences de l’éducation et de la communication, des technologues de l’éducation et des chercheurs en sociologie des usages : l’environnement personnel d’apprentissage (EPA) pour désigner l’environnement conçu et utilisé par les étudiant-e-s dans et en dehors des institutions, pour apprendre.

Les chercheurs ne disposent cependant d’aucun cadre théorique permettant de dépasser ce niveau descriptif auxquels se cantonnent les recherches actuelles, le plus souvent exploratoires, sur les EPA. Selon les intérêts et les compétences des acteurs, plusieurs approches se sont dessinées, entre autres : celle centrée sur le développement qui considère que les EPA sont des assemblages de services web qui devraient être développés et agencés au niveau institutionnel, proposant ainsi de nouveaux environnements virtuels d’apprentissage (sans le dire) pour remplacer les anciens devenus obsolètes ; celle centrée sur la recherche de l’intelligibilité qui considère que les EPA sont déjà là, conçus et créés par les étudiant-e-s souvent pour soutenir leurs apprentissages formels ou non formels. Cette dernière approche s’emploie à mieux décrire les EPA et à les modéliser, d’une part, et d’autre part, à comprendre l’activité supportée par les EPA et à cerner leur impact pour les étudiants eux-mêmes et pour les institutions. Notre appel à contribution est adressé aux chercheurs qui étudient ce phénomène par des modélisations, des développements, des observations, des études de cas ou toute autre approche.

Les objectifs de ce numéro spécial sont de :

1. Partager les cadres de référence et la terminologie afin de préciser et d’enrichir les différentes conceptualisations des EPA réalisées par des chercheurs et chercheuses issues de champs disciplinaires différents.

2. Analyser et discuter la mise en application de ces cadres de référence et terminologies sur des objets de recherche :

  • la conception et la construction émergeante par l’étudiant-e de son EPA ;
  • le modèle de l’apprenant ;
  • l’expérience d’apprentissage ;
  • les processus de gestion personnelle et de gestion collective des connaissances supportés par les EPA y compris en contexte professionnel ;
  • les rapports entre les EPA et les environnements institutionnels.

3. Développer une vision compréhensive de ce nouveau champ de recherche et de ses enjeux et y situer les différentes contributions.

 

Contributions attendues

Les principales contributions attendues concernent les thématiques suivantes :

1. analyse réflexive et modélisation du processus de conception de l’EPA du point de vue de l’étudiant-e;

2. modélisation des EPA du point de vue des concepteurs;

3. analyse des relations ou non relations entre EPA et environnements institutionnels ;

4. analyse des processus d’apprentissage vécus dans une diversité de contextes;

5. analyses d’usages.

Calendrier indicatif :

  • 15.10.2013 : envoi d'une intention de soumettre avec résumé à D. Peraya (daniel.peraya@unige.ch)
  • 30.10.2013 : avis sur la proposition
  • 15.12.2013 : soumissions définitives des contributions
  • 1.03 au 15.06 : retour aux auteurs, processus d'évaluation et mise en ligne progressive des textes au fur et à mesure de leur acceptation définitive
  • 1.07.2014 : fin du processus de révision et mise en ligne du numéro spécial dans sa version complète

 

Modèle de soumission : http://sticef.univ-lemans.fr/info/consignes.htm

 

Evaluation dans les jeux sérieux

Editeurs du numéro spécial

Pierre-André Caron (pierre-andre.caron@univ-lille1.fr)

Sébastien George (sebastien.george@insa-lyon.fr)

Julian Alvarez (julian.alvarez@univ-lille1.fr)

 

Soumission

Les textes destinés à la revue, doivent faire entre 7000 et 9000 mots (maximum 30 pages), ils peuvent avoir la forme d'un article scientifique, d'une rubrique ou d'une note de synthèse. Un comité de lecture spécifique à ce numéro thématique est constitué avec les relecteurs habituels de la revue. Chaque article sera relu par un relecteur au profil informatique et par un relecteur au profil Science Humaines.


Si vous souhaitez contribuer, envoyer une déclaration d’intention aux coordinateurs du numéro (pierre-andre.caron@univ-lille1.fr, sebastien.george@insa-lyon.fr, julian.alvarez@univ-lille1.fr) avant le 15 juillet

 

Les auteurs trouveront sur le site de la revue des précisions sur le format des soumissions et sur la politique éditoriale de la revue.

 

Thème

Cet appel à contributions a pour objet de permettre aux chercheurs menant des recherches impliquant la conception, l'usage ou l'analyse de Serious Game de présenter leurs travaux. Cet appel à contribution vise plus particulièrement le thème de l’évaluation associés aux Serious Games, utilisés dans des dispositifs de formation institutionnels ou non. Le thème de l'évaluation comprend notamment les aspects suivants :

  • Conception de modèles impliquant l'évaluation de l'apprenant
  • Analyse de Traces, élaboration d'Indicateurs
  • Scénarisation pédagogique
  • Transposition didactique des activités et/ou des situations de référence.
  • Évaluation des activités, des apprentissages et des compétences
  • Valorisation et validation des acquis de l'apprentissage et de l'expérience acquise dans le cadre d'un Serious Game.

Cet appel concerne donc les questionnements portant sur les aspects épistémiques, informatiques, pédagogiques ou didactiques portant notamment sur les artefacts, dispositifs ou ressources pédagogiques et impliquant la notion de l'évaluation au sein d'un Serious Game ou de mesure de l'impact ou la qualité d'un Serious Game.

La revue STICEF (http://sticef.univ-lemans.fr/) est classée par l'Atief « A » en Informatique et par l'Aeres « Référente » en Sciences de l'éducation.

Calendrier indicatif :

  • Rédaction et lancement de l'appel : 15 avril 2013
  • Déclaration d'intention : 15 juillet 2013
  • Date limite de réception des articles : 1er septembre 2013
  • Premiers retours des relecteurs : novembre 2013
  • Parution prévue : en ligne à partir de décembre 2013

Modèle de soumission : http://sticef.univ-lemans.fr/info/consignes.htm

 


Recherches en EIAH, politiques publiques,
pratiques des acteurs (et des chercheurs)

Editeurs du numéro spécial

Jacques Wallet et Alain Jaillet :

 

Soumission

Les contributions doivent être envoyées par courrier électronique (format DOC, RTF ou PDF) à jacques.wallet@univ-rouen.fr et alain.jaillet@iufm.u-cergy.fr

Avant le 30 avril 2013

Les auteurs trouveront sur le site de la revue des précisions sur le format des soumissions et sur la politique éditoriale de la revue.

 

Thème

En France, depuis plus de 10 ans, la politique de l'état en matière de TICE favorise avant tout l'émergence de progiciels de gestion intégrée pour les établissements scolaires (ENT) tandis que les collectivités territoriales financent également des déploiements en masse d'équipements informatiques (portables, tablettes, tableaux interactifs, réseaux, serveurs de fichiers, etc.). Autour de ces dispositifs, des vulgates et des doxas qui le accompagnent, existent de multiples tensions protéiformes assez peu décrites et pourtant bien présentes qui dépassent largement le cadre socio-technique prescrit.
Dans le même temps, la communauté en confluence possible des chercheurs à la jonction de la pédagogie, de la technologie, de la communication, a tenté de donner de plus en plus de visibilités aux connaissances produites par les recherches dans le domaine de ce qui recouvre les EIAH. Au-delà de la description du champ, dont on pouvait penser qu'il créerait des synergies entre les différents intérêts, on constate un très faible impact des résultats des recherches, riches en potentiels d'innovation à destination du système éducatif déployées à grande échelle.
Avec des points de vues et des méthodologies qui leurs sont propres, cet appel à communication concerne les différentes disciplines constitutives de la communauté EIAH.
Les articles pourront traiter d'étude de cas dans le champ scolaire de la maternelle au lycée, de thématiques ou de questions à des niveaux divers (micro/meso/ systémique)… Quelques exemples (liste non exhaustive) de thématiques qui sont en rapport avec :
− des méthodologies de recherche permettant d'analyser les pratiques pédagogiques avec les technologies.
− les effets dans le système éducatif de l'informatisation de masse et des pratiques sociales et culturelles des acteurs du système éducatif, notamment avec les réseaux sociaux.
− Les questions que soulèvent les plans ou les expérimentations mis en œuvre dans le domaine des TICE.
− l'émergence de nouvelles questions juridiques ou déontologiques liées aux pratiques, aux systèmes et aux prescriptions qui leurs sont liées.
− les effets directs ou indirects dans l'éducation des évolutions des sciences informatiques appliquées à l'éducation et des impacts des recherches dans le domaine.
− le débat entre solutions propriétaires et solutions open source.
− le rapport entre innovation pédagogique et déploiements machiniques.
− la numérisation des ressources pédagogiques et les balbutiements des manuels numériques, les certifications « à l'informatique », les textes officiels.
− les rapports entre l'état, les collectivités locales, les établissements scolaires et les institutions publiques.
− les évolutions de la professionnalité enseignante, les nouvelles pratiques personnelles ou collaboratives, les postures des personnes ressources en TICE ou celles chargées de la supervision pédagogique, l'évolution des communautés disciplinaires ou des mouvements pédagogiques.
− la place des réseaux institutionnels, ou non, dans la formation initiale et continue des enseignants…
Certains articles pourraient s'inscrire dans une dimension internationale, francophone ou non, dans les pays développés comme dans les pays en émergence, afin de favoriser les comparaisons, d'évaluer les apports des communautés internationales de chercheurs et de relever les contradictions au sein des industries de la connaissance, de mieux cerner les tendances et les évolutions possibles sur le long terme.



Artefacts tactiles et mobiles en éducation

 

Editeurs du numéro spécial

François Villemonteix : francois.villemonteix@u-cergy.fr

Eric Bruillard : eric.bruillard@stef.ens-cachan.fr

 

Soumission

Les contributions doivent être envoyées par courrier électronique (format DOC, RTF ou PDF) à francois.villemonteix@u-cergy.fr ou eric.bruillard@stef.ens-cachan.fr.

Avant le 31 janvier 2013

Les auteurs trouveront sur le site de la revue des précisions sur le format des soumissions et sur la politique éditoriale de la revue.

 

Thème

La journée ATAME (Artefacts Tactiles et Mobiles en Éducation) qui s'est déroulée le 27 septembre 2012, voir
http://www.u-cergy.fr/fr/laboratoires/ema/ema---tice/atame2012.html a permis de faire un point récent sur différentes utilisations des artefacts tactiles et mobiles (smartphones, tablettes…) en éducation. Elle a été essentiellement centrée sur les recherches menées sur le terrain scolaire.

Cet appel à contribution vise d'une part à permettre aux participants à cette journée de proposer une version étendue de leur proposition à STICEF et d'autre part à permettre à d'autres personnes ou équipes ayant déjà travaillé sur cette thématique, notamment autour de questions de conception de dispositifs tactiles et mobiles, ou orientées vers les pratiques universitaire et de formation d'adultes, en France et à l'étranger, de présenter leurs travaux.

Ainsi, une ouverture serait souhaitée vers des questionnements portant sur les aspects plus techniques et sur d'autres économiques portant notamment sur les ressources pédagogiques. Que dire des nouveaux modèles de conception et de diffusion de ressources utilisées sur ces supports ? Quel rôle jouent les institutions et leurs acteurs, notamment les enseignants ?

Si vous souhaitez contribuer, envoyer rapidement une déclaration d'intention aux coordinateurs du numéro (francois.villemonteix@u-cergy.fr, eric.bruillard@stef.ens-cachan.fr)

Individualisation, personnalisation et adaptation des Environnements Numériques d’Apprentissage

 

Editeurs du numéro spécial

Jean-Luc Rinaudo, sciences de l’éducation (jeanluc.rinaudo@univ-rouen.fr)
Elise Lavoué, informatique (elise.lavoue@univ-lyon3.fr)

Soumission

Déclaration d'intention : 30 juin 2011.
Date limite de retour d'article : 30 septembre 2011.
Parution : printemps 2012.
La déclaration d’intention sera d’une page maximum, synthétisant le contexte, la problématique, les objectifs et les principaux apports de l’article.
Les articles de recherche comprennent entre 15 et 30 pages.
Les contributions doivent être envoyées par courrier électronique (format DOC, RTF ou PDF) à soumission@sticef.org.
Les auteurs trouveront sur le site de la revue des précisions sur le format des soumissions et sur la politique éditoriale de la revue.

 

Thème

Les analystes repèrent que la société hyper moderne se traduit par des conduites plus individuelles que collectives et exacerbe la nécessité de s’affirmer comme individu autonome. Dans le champ de l'éducation, avec la centration sur l'élève, certains notent un passage progressif, du moins dans les textes officiels, de l'école pour tous à l'école pour chacun. Les aides individualisées à l'école primaire ou l'individualisation des parcours de formation en constituent deux exemples. La personnalisation est également indiquée comme une clef d'organisation vers une école de qualité pour le XXIe siècle. L’avènement de l'Internet participatif et collaboratif, popularisé sous le nom de Web 2.0, favorise la possible prise en charge des contenus et des dispositifs par chaque internaute. C'est dans ce contexte que se développe la variabilité des dispositifs pédagogiques, des apprenants eux-mêmes et de l’environnement dans lequel s’effectuent les apprentissages. Cette variabilité impose aujourd’hui de penser et mettre en œuvre divers niveaux de personnalisation, d'adaptation, d'individualisation.
Le thème de ce numéro spécial s’adresse à des chercheurs de disciplines diverses et peut se décliner sous différents termes selon l’angle de vue adopté par chacune. Dans le contexte éducatif, le terme d’ « individualisation » sera le plus souvent employé, faisant référence au parcours pédagogique propre à chaque apprenant. Dans la communauté EIAH, il est plutôt question de « personnalisation » des contenus et des apprentissages selon des profils d’apprenants correspondant à certains besoins, possibilités, intérêts et préférences. Dans la communauté IHM, la question de l’ « adaptation » renvoie également à l’utilisateur, en lui ajoutant la prise en compte du contexte d’utilisation. Ainsi, selon les disciplines concernées le vocabulaire utilisé peut différer bien que renvoyant aux mêmes notions et à une même finalité qui est la prise en compte dans les dispositifs et les environnements informatiques des particularités de chacun et de la variabilité des contextes.
Ce numéro spécial de Sticef propose de rassembler des travaux de recherche sur la thématique de la personnalisation, concernant l'école, l'université et la formation professionnelle, afin de répondre en particulier aux questions suivantes :

  • Quelle adaptation est envisagée par les concepteurs, informaticiens, ergonomes ? Quelle individualisation autorisent les outils ? Ces questions peuvent notamment se rapporter aux apprentissages, aux contenus, aux parcours de formation et aux technologies.
  • Par qui et à quel moment de la formation est réalisée la personnalisation, l’adaptation ou l’individualisation ? Par exemple, il est possible pour le concepteur de paramétrer l’environnement ou le dispositif avant, pendant ou après la formation par un retour d’usage. Certains environnements offrent également la possibilité à l’apprenant et/ou l’enseignant de les personnaliser de façon manuelle ou semi-automatique en cours d’activité. Enfin, l’adaptation se fait parfois de façon automatique à partir des traces d’interactions observées.
  • Quels sont les objectifs recherchés ? Comme exemple, il est souvent mentionné la volonté d’offrir plus d’autonomie, de s’adapter aux préférences et/ou capacités de l’apprenant, ou encore d’offrir une flexibilité et souplesse d’usage en termes de technologie notamment grâce à l’apprentissage mobile.
  • Quels sont les résultats de recherche sur les effets des environnements numériques personnalisés en éducation et formation sur les usages des TIC et sur les apprentissages ?
  • Que signifie adaptation et/ou personnalisation rapportée à un groupe, une communauté ou un réseau ? Quelles formes cela peut-il prendre ?
  • La personnalisation repose sur des données sur les apprenants. Comment les questions juridiques se rapportant au droit à la vie privée sont-elles prises en compte dans la conception des dispositifs de formation et environnements informatiques ?

Des regards croisés sur cette problématique de recherche seront appréciés. Des comparaisons de technologies ou des approches existantes et expérimentées sur le terrain, apportant des retours d’usages sont attendues. Cet appel s’adresse aux chercheurs en sciences de l’éducation, informatique, ergonomie, psychologie, linguistique, sciences de l’information et de la communication, didactiques etc. travaillant sur les TIC en éducation et formation.


Technologies mobiles et ubiquitaires
pour l'apprentissage

 

Editeurs du numéro spécial

Amel Bouzeghoub (Amel.Bouzeghoub@it-sudparis.eu)
Serge Garlatti (Serge.Garlatti@telecom-bretagne.eu)
Yvan Peter (Yvan.Peter@univ-lille1.fr)

Soumission

Les contributions doivent être envoyées par courrier électronique (format DOC, RTF ou PDF) à soumission@sticef.org

avant le 30 décembre 2009

Thème

L’évolution et la convergence des technologies sans fil (Wifi, 3G…), des dispositifs mobiles (Smart Phone, PDA, UMPC, consoles de jeux…) et des capteurs (GPS, accéléromètre…) ont permis l’émergence de l’apprentissage mobile (m-learning) et pervasif (p-learning). Loin d’être une simple extension de l’apprentissage à distance (e-learning), ceux-ci soulèvent des problématiques originales aussi bien en termes technologiques que pédagogiques ou sur le sujet de l’évaluation. L’apprentissage mobile s’appuie en général sur un seul dispositif et une prise en compte d’un contexte réduit. L’apprentissage pervasif s’appuie sur un environnement riche en services et en capacité d’interaction (par exemple une salle augmentée ou smartroom). Cela permet d’accéder à un contexte plus riche d’une part et à une interaction qui se déroule à travers de multiples dispositifs (par ex. téléphone + écran tactile + détecteur de mouvement).
Les enjeux portent notamment sur l’acquisition et la gestion d’un contexte pertinent pour gérer l’adaptation du dispositif dans son ensemble. Ces adaptations peuvent porter sur les ressources pédagogiques proprement dites, les activités, les services offerts à l’utilisateur, etc. L’apprentissage mobile et pervasif se prête bien au développement de dispositif reposant sur l’apprentissage situé et constructiviste comme les visites de terrain ou de musée. Une réflexion sur les modalités pédagogiques les plus appropriées reste à développer. En d’autres termes, il s’agit de définir des activités d’apprentissage en situation qui améliorent les processus d’apprentissage et facilitent la réutilisation de ceux-ci.
Enfin, l’évaluation des usages dans un cadre mobile et pervasif soulève un ensemble de problématiques du fait de la mobilité même, de la multiplicité des vecteurs d’interaction, etc. Des outils sont nécessaires pour instrumenter les expérimentations (collecte de traces) et la démarche méthodologique reste à affiner. Les enjeux majeurs liés à ce domaine de recherche sont synthétisés dans le document « Workshop big issues in mobile learning » produit par le Mobile Learning SIG du réseau Kaleidoscope et qui peut servir de référence.
L’objectif de ce numéro spécial est de rassembler un ensemble de travaux permettant de comprendre comment les technologies issues de l’informatique mobile et ubiquitaire peuvent apporter une contribution en termes d’apprentissage que ce soit dans le domaine formel (université, entreprises…) ou informel (hors école, tout au long de la vie). La cible couvre aussi bien l’apprentissage avec des technologies portables (qui peuvent être dans un endroit fixe tel qu'une salle de classe) que l’apprentissage au travers des contextes (qui peuvent comporter une combinaison de technologies fixes et portables).
Les articles seront évalués sur la contribution dans le domaine de l’apprentissage mobile ou pervasif. Ils doivent présenter une recherche originale, par exemple sur la conception l’implémentation, le déploiement, l’évaluation de l’usage ou encore l’efficacité de l’apprentissage.
Les contributions attendues pour ce numéro se répartissent principalement en cinq thèmes :

Technologies mobiles pour l’apprentissage

  • Nouveaux outils, technologies, architectures et plates-formes pour l’apprentissage mobile

  • EIAH et informatique sensible au contexte, évolution par rapport aux Hypermédias adaptatifs pour l’Apprentissage. Qu’est un contexte pour l’apprentissage mobile ?

  • Evolutions des standards EIAH pour supporter la mobilité (LOM, SCORM, IMSLD…)

  • Travaux sur le profil utilisateur dans l’apprentissage mobile

  • Conception de systèmes d’apprentissage mobiles centrée utilisateur

  • Technologies contextuelles et ambiantes pour l’apprentissage

Nouvelles pratiques

  • Approches pédagogiques et théories pour l’apprentissage mobile

  • Apprentissages formels et informels

  • Articulation apprentissages pratiques/formations dans le cadre de la mobilité induite par l’alternance

  • Jeux et simulations dans l’apprentissage mobile

  • Apprentissage collaboratif et réseaux sociaux avec les technologies mobiles et ubiquitaires

Expérimentation, traces et étude des usages

  • Approches expérimentales et théories liées à l’apprentissage mobile

  • Formalisation des traces contextuelles

  • Développement des instruments pour la collecte des traces dans le contexte de la mobilité de l’apprenant

  • Evaluation d’équipements mobiles et de technologies portables

Technologie

  • Réseaux et services de communications mobiles et ubiquitaires, mobilité et nomadisme, création de contenus, multimédia, réalité augmentée, IHM avancées, terminaux, plates formes de services mobiles, etc.

Socio économiques

  • Etudes et impacts des pratiques et usages émergents, modèles économiques, régulation, développement de plates formes orientées enseignement etc.

  • Ethiques et questions sociales

Calendrier

Date de limite de réception des propositions : 30 décembre 2009
Parution prévue: fin 2010
Les articles de recherche comprennent entre 15 et 30 pages et les rubriques entre 5 et 10.
Les auteurs trouveront sur le site de la revue (www.sticef.org) des précisions sur le format des soumissions et sur la politique éditoriale de la revue.

Analyses des traces d'utilisation dans les EIAH

Editeurs du numéro spécial

Christophe Choquet (christophe.choquet@univ-lemans.fr)
Elisabeth Delozanne (elisabeth.delozanne@math-info.univ-paris5.fr)
Vanda Luengo (Vanda.Luengo@imag.fr)

Soumission

Les contributions doivent être envoyées par courrier électronique (format DOC, RTF ou PDF) à soumission@sticef.org

avant le 6 mai 2007

Thème

L’analyse des traces d'interaction avec un environnement d'apprentissage est un thème de recherche en forte évolution, notamment pour trois raisons. Premièrement les acteurs concernés, en tant qu’observés ou en tant qu’observateurs, sae sont multipliés : apprenant ou groupe d'apprenants, tuteur, concepteur, administrateur, agents virtuels. Deuxièmement, les volumes d’informations numériques recueillies sont très importants. Troisièmement les modalités de communication avec les systèmes informatiques se sont diversifiées. De nombreux travaux de recherche sont menés sur ce thème, visant par exemple la modélisation des apprenants, l’adaptation des sessions aux caractéristiques des apprenants, le support aux activités collaboratives ou le support à différents acteurs.
L’objectif de ce numéro spécial est de faire le point sur la question. Les soumissions pourront porter sur les méthodes et les techniques concernant le recueil, la structuration, la fusion, l’analyse, la visualisation, l’utilisation des traces individuelles ou collectives d’activité dans les EIAH, par exemple sur les thèmes suivants :

  1. apports de l’analyse de traces à des stratégies d’enseignement ou de régulation, à l’ingénierie de formation ou à la réingénierie des systèmes de formation,

  2. articulation entre méthodes numériques de fouilles de données et méthodes d’analyse cognitive, didactique, sociale ou linguistique,

  3. relations entre représentations des traces, représentations des connaissances, situations d’apprentissage et interfaces,

  4. intégration et traitement de données hétérogènes,

  5. utilisation de corpus de traces pour analyser et modéliser des dynamiques d’échanges,

  6. conception d’interfaces pour visualiser, composer, synthétiser des traces ou pour travailler ou réfléchir sur des traces,

  7. évaluation de la pertinence des indicateurs collectés, synthétisés, calculés, inférés par rapport aux objectifs visés ?.

Calendrier et format des propositions

Date limite de réception des propositions : 6 mai 2007
Parution prévue: 2008
Les articles de recherche comprennent entre 15 et 30 pages et les rubriques entre 5 et 10.
Les auteurs trouveront sur le site de la revue (www.sticef.org) des précisions sur le format des soumissions et sur la politique éditoriale de la revue.


Les dimensions émotionnelles de l'interaction dans un EIAH

Editeurs du numéro spécial

Roger Nkambou (nkambou.roger@uqam.ca)
Elisabeth Delozanne
(elisabeth.delozanne@math-info.univ-paris5.fr)
Claude Frasson
(frasson@iro.umontreal.ca)

Soumission

Les contributions doivent être envoyées par courrier électronique (format DOC, RTF ou PDF) à soumission@sticef.org

avant le 01 mars 2007

Thème

Des recherches récentes visent à permettre des " interactions émotionnelles " avec des ordinateurs (Picard, 1997), (Pelachaud, 2006), (réseau HUMAINE). Il s'agit de doter les machines de capacités de percevoir et d'exprimer des émotions, de déterminer la relation entre les émotions et les processus cognitifs, de comprendre les émotions et les connaissances émotionnelles et de réguler les émotions dans l'interaction. Depuis 2000, des travaux ont été publiés sur l'impact de ces recherches en EIAH, en particulier lors des conférences ITS et AIED (ITS, 2006a), (ITS, 2006b), (AIED 2005).
Avec un recul de six ans, ce numéro spécial est l'occasion de faire le point, d'une part, sur le rôle des émotions dans l'apprentissage et dans la motivation à apprendre et, d'autre part, sur la façon de mettre en œuvre des EIAH qui prennent en compte ces facteurs dans les situations d'apprentissage. Plus précisément, nous sollicitons des contributions scientifiques : articles de recherche ou rubriques. Les articles de recherche devront présenter des analyses, des méthodes, des techniques, des formalismes ou des études empiriques mettant en évidence le rôle des émotions et de la motivation dans l'apprentissage et la formation. Ils pourront également décrire un système ou un dispositif incluant des technologies qui tient compte de facteurs émotionnels ou motivationnels. De tels systèmes devront être implémentés et des éléments de validation devront être apportés. Ces soumissions rendront compte des résultats effectifs ou des retombées de l'application des méthodes et techniques mises en œuvre. Les rubriques pourront présenter des expériences ou des travaux ponctuels ou moins aboutis qui illustrent l'utilisation d'une technique ou d'une méthode particulière.
Les contributions pourront porter sur tous les thèmes concernant le rôle des émotions et de la motivation dans l'apprentissage et la formation, par exemple sur les thèmes suivants :

  • synthèse des travaux publiés sur ce sujet,
  • rôle et fonction des émotions dans l'apprentissage,
  • apprentissage de la régulation des émotions et développement des capacités méta-affectives,
  • approches théoriques, modèles, méthodes et techniques pour la prise en compte des dimensions affective et motivationnelle dans les EIAHs,
  • expériences de prises en compte des émotions et de la motivation dans les EIAHs ou les jeux éducatifs,
  • détection (recueil et interprétation) des émotions de l'apprenant à partir de leurs expressions multimodales : actions, langage, parole, expressions du visage, gestes, postures, signaux physiologiques, etc.
  • mise au point ou utilisation d'agents pédagogiques ou de compagnons motivants, expressifs ou attentionnés (situation d'apprentissage incluant de tels agents, synthèse du comportement émotionnel de l'agent, pertinence de ce comportement dans la situation d'apprentissage).

Nous sommes également ouverts à des expériences dans des domaines connexes (systèmes d'assistance, rééducation, jeux etc.) qui indiqueraient dans quelle mesure les approches proposées pourraient être mises en œuvre en EIAH.

Calendrier

Date de limite de réception des propositions : 1er mars 2007
Parution prévue: fin 2007
Les articles de recherche comprennent entre 15 et 30 pages et les rubriques entre 5 et 10.
Les auteurs trouveront sur le site de la revue (www.sticef.org) des précisions sur le format des soumissions et sur la politique éditoriale de la revue.

Références

(Picard, 1997)
Picard, R. (1997). Affective Computing, MIT Press. http://affect.media.mit.edu (consulté le 18/07/06)

(Pelachaud, 2006)
Pelachaud C. (ed), Interactions émotionnelles, Revue d'Intelligence Artificielle n°4-5/2006, Hermès, Lavoisier.

(réseau HUMAINE)
HUMAINE, Réseau d'excellence. http://emotion-research.net/aboutHUMAINE/ (consulté le 18/07/06)

(AIED, 2005)
AIED'2005 Workshop on Motivation and Affect in Educational Software
http://hcs.science.uva.nl/AIED2005/W4proc.pdf (consulté le 18/07/06)

(ITS, 2006a)
ITS'2006 Workshop Motivational and affective issues in ITS
http://www.informatics.sussex.ac.uk/users/gr20/its06/ (consulté le 18/07/06)

(ITS, 2006b)
ITS'2006, conférence invitée de R. Picard, Building an Affective Learning Companion
http://www.its2006.org/ITS_keynote/ITS2006_05.pdf (consulté le 18/07/06)


Les méthodes de recherche en évaluation des EIAH : contribution à l'analyse de leurs spécificités et de leurs articulations

Editeurs du numéro spécial

Erica de Vries (Erica.deVries@upmf-grenoble.fr)
Georges-Louis Baron (georges-louis.baron@paris5.sorbonne.fr)

Soumission

Les contributions doivent être envoyées par courrier électronique (format DOC, RTF ou PDF) à soumission@sticef.org

avant le 31 janvier 2006

Thème

Les environnements interactifs pour l'apprentissage humain (EIAH) ont vocation à remplir une variété de fonctions et à être utilisés dans de multiples contextes. Si un consensus semble exister sur l'intérêt de disposer de dispositifs informatiques permettant davantage d'exploration, de construction et de collaboration par des élèves ou étudiants dans une visée d'apprentissage, on peut constater une grande hétérogénéité dans les démarches choisies pour l'évaluation de tels artefacts informatiques. Une évaluation peut en effet concerner l'artefact informatique en cours de conception, son ergonomie au niveau de l'interface, ou encore son utilisation dans des conditions contrôlées. D'autres travaux focalisent sur les activités ou apprentissages qu'ils permettent de réaliser, aux usages en situation de classe, à leur influence sur les contenus d'enseignement et aux problèmes éventuels qu'ils suscitent.

En raison de la diversité de cette liste (non exhaustive) d'objets de l'évaluation des EIAH, la recherche s'appuie traditionnellement sur de multiples références théoriques et méthodologiques invoquées par les concepteurs, chercheurs et praticiens de façon mono ou pluridisciplinaire.

Ce numéro spécial a principalement pour objectifs

•  de s'interroger sur les spécificités des méthodes et techniques dans le domaine de l'évaluation des EIAH,

•  de faire le point sur les ressources offertes par les différents champs de référence pour guider la conception, évaluer les mises en ouvre, analyser les usages,

•  d'analyser la manière dont ces ressources peuvent se conjuguer.

Les articles attendus devront témoigner d'une réflexion distanciée sur un ensemble de méthodes et de techniques regroupées par thème ou par discipline plutôt que de présenter un exemple de l'application d'une technique ou méthode précise.

Ils pourront le cas échéant rendre compte des résultats effectifs ou des retombées de l'application de telles méthodes et techniques.

Calendrier

Date de limite de réception des propositions : 15 janvier 2006
Parution prévue: courant 2006

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Conceptions et usages des plates-formes de formation

Editeurs du numéro spécial

Alain Derycke (alain.derycke@univ-lille1.fr)
Sébastien George (Sebastien.George@insa-lyon.fr)

Soumission

Les contributions doivent être envoyées par courrier électronique (format DOC, RTF ou PDF)
à Christophe Després (Christophe.Despres@lium.univ-lemans.fr)

avant le 15 mars 2005

Thème

Les environnements informatiques pour l’apprentissage humain (EIAH) ont pendant longtemps été conçus et développés de manière isolée, pour des besoins spécifiques. Actuellement, de plus en plus de travaux de recherche prennent en compte les besoins de réutilisation et d’intégration des logiciels éducatifs dans des plates-formes de formation plus globales.
Ce numéro spécial a pour objectif, d’une part, de discuter des usages et expériences des plates-formes éducatives et, d’autre part, de proposer des technologies ou techniques de conception, de développement et d’intégration des EIAH. Les contributions attendues pour ce numéro se répartissent principalement en quatre thèmes :


• Usages des plates-formes :
- analyse des processus de mise en œuvre pratique de plates-formes
- analyse des impacts sur les contenus et l’organisation des formations
- retour d’expérience de campus numériques
- mise en place d’environnements numérique de travail (ENT)
- …


• Normes et plates-formes :
- indexation de ressources pédagogiques, métadonnées (LOM, …)
- normes et standards pour les scénarios d’apprentissage (IMS-LD, …)
- systèmes de gestion de cursus de formation
- …


• Modèles pour les plates-formes :
- modèles de scénarios pédagogiques spécifiques
- modèle d’analyse et d’évaluation des usages (travaux coopératifs ou collaboratifs à
distance, …)
- modèle pour la conception d’IHM
- Model Driven Architecture (MDA)
- …


• Architectures logicielles des plates-formes:
- approche par composants
- architecture multi-agents
- interopérabilité
- intégration de services (e-services, impact des web services,…)
- environnement de conception (système auteur)
- cycle de vie
- …

Calendrier

Date de limite de réception des propositions : 15 mars 2005
Parution prévue: fin 2005

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Que signifie l’ontologie pour les EIAH ?

Editeurs du numéro spécial

Jacqueline Bourdeau (bourdeau@licef.teluq.uquebec.ca)

Michel Crampes (Michel.Crampes@ema.fr)

Soumission

Les contributions doivent être envoyées par courrier électronique (format DOC, RTF ou PDF)
à Christophe Després (Christophe.Despres@lium.univ-lemans.fr)

avant le 15 février 2004 - reportée au 8 mars 2004

Thème

L’usage grandissant du terme ‘ontologie’ n’est-il qu’un effet de mode, ou bien est-il le reflet d’une véritable avancée et de pratiques réelles en informatique cognitive ? Le concept d’ontologie n’est-il qu’un sémème égoïste du discours en vigueur sur la toile -le Web Sémantique- ou bien est-il un des leviers pour le développement du e-learning ?

Dans notre communauté scientifique, les avis semblent bien partagés sur la raison d’être du concept même d’Ontologie, et sur le rôle qui pourrait être alloué à une ou des ontologies pour la construction ou l’amélioration des EIAH. Ce numéro thématique se propose de susciter interrogations, réflexions et discussions afin de faire avancer l’état des connaissances et d’éclairer les orientations à prendre pour l’avenir.

Que signifie l’ontologie pour les membres de la communauté EIAH ? Pour certains, elle serait devenue pratique courante sans causer de révolution dans le monde de l’ingénierie des connaissances et ne mériterait d’autre attention que pour sa technicité. D’autres s’insurgent face à une intrusion qui bouleverserait les idées classiques en représentation des connaissances. Nombreux sont ceux qui y voient un simple intérêt pratique pour l’indexation des ressources dans la perspective du Web sémantique ou encore la génération de documents. Pour d’autres, enfin, l’ingénierie ontologique peut servir de support à la construction de parcours et de pratiques éducatives personnalisés novateurs et performants.

Que sont l’Ontologie, les ontologies, et l’ingénierie ontologique ? L’Ontologie se présente comme la science de l’être, une spécialité de la philosophie. Pour les sciences cognitives, " une ontologie est une spécification explicite d’une conceptualisation " selon la formule de Gruber. L’ingénierie ontologique englobe la méthodologie et les outils de construction de ces ontologies. Pourquoi adopter ces notions et ces pratiques dans le domaine de l’EIAH ? Quel intérêt présentent-elles, et quels sont les risques associés à cette adoption ? Quels sont les problèmes connus dans notre domaine auxquels elles pourraient apporter des solutions ? Faut-il s’attendre à de nouveaux problèmes générés par cette adoption ? Les résultats obtenus dans d’autres domaines – médical, industriel – nous inspirent-ils confiance, et peut-on atteindre des résultats similaires compte tenu de la spécificité de notre domaine ?

La nature des contributions attendues pour ce numéro se situe sur deux plans :

  • Au plan de la réflexion, il s’agit d’interroger, de manière spéculative ou empirique, les espoirs et les doutes suscités par la prise en compte d’ontologies dans le domaine des EIAH.
  • Au plan des réalisations et des expérimentations, il s’agit de prouver, ou à l’inverse de réfuter l’intérêt que présente l’intrusion de l’ingénierie ontologique dans l’EIAH. Au-delà de leur simple description, l’analyse critique des réalisations sera profitable pour mieux appréhender les limites et les perspectives.utilisation d'ontologies.

Calendrier

Date de limite de réception des propositions : 15 février 2004 - reportée au 8 mars
Parution prévue: automne 2004

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Technologies et Formation à distance

Editeurs du numéro spécial

Pascal Leroux (Pascal.Leroux@lium.univ-lemans.fr)

Richard Hotte (rhotte@teluq.uquebec.ca)

Soumission

Les contributions doivent être envoyées par courrier électronique (format DOC, RTF ou PDF)
à Christophe Després (Christophe.Despres@lium.univ-lemans.fr)

avant le 15 décembre 2002

Thème

L’intégration des technologies de l’information et de la communication au domaine de la formation à distance a initié de nouveaux modes d’enseignement et d’apprentissage. Désormais, la formation à distance exploite Internet et les réseaux informatiques pour créer des lieux de formation. Les technologies de l’information et de la communication sont devenues des supports à la réalisation de produits et de services éducatifs en formation à distance.

Ce numéro spécial a pour objectif d’interroger la manière dont ces technologies peuvent supporter l’apprentissage sur les réseaux. Perçues comme des supports à des activités de formation et de communication, les technologies de l’information et de la communication questionnent les orientations de la recherche et des pratiques dans les domaines, entre autres, de l’informatique, de la didactique et de la pédagogie.

Nous serons attentifs aux propositions qui traiteront de problématiques liées à la conception et à l’utilisation d’environnements informatiques supportant l’activité des acteurs humains dans des contextes d’apprentissage individuel et collectif.

Les principaux thèmes que nous souhaiterions voir abordés dans de ce numéro spécial sont : ingénierie des systèmes d’apprentissage, encadrement télématique des apprentissages, modélisations des connaissances et des activités, systèmes de téléapprentissage, réalisation d’environnements répartis, ingénierie des interfaces, systèmes d’acquisition et de représentation des connaissances.Consignes aux auteurs : disponibles sur le serveur Web de Hermès Science Publication : http://www.hermes-science.com (auteurs, consignes revues)

Calendrier

Date de limite de réception des propositions : 15 décembre 2002
Parution prévue : automne 2003

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Mise à jour du 22/10/20