La journée du 25 juin a aussi permis d'identifier des questions ouvertes sur lesquelles il serait bon que les acteurs avancent :

• A travers les actions mises en œuvre, Orphée doit préparer le terrain pour que les acteurs de la recherche qui s'intéressent depuis peu au domaine de la e-education gagnent rapidement en compétences.
• Dans sa relation avec les industriels, Orphée doit rapidement offrir une dynamique aux entrepreneurs qui se sont fortement mobilisés suite aux annonces de différents plans par l'Etat sans grands résultats opérationnels pour leur modèle économique. Dans cette perspective, une approche décentralisée dans les différentes régions paraît une voie facilitatrice pour remobiliser les entreprises déçues.
• Pour nourrir la réflexion sur des projets communs, l'analyse des projets doit se faire sur à la fois du point de vue du numérique et des TIC, mais aussi du point de vue pédagogique, par exemple par une analyse des projets IDEFI labellisés.
• Il est nécessaire de réfléchir rapidement à la stabilisation du réseau au-delà des 2 ans du projet ANR Orphée. SI la volonté de travailler ensemble sur le long terme est réelle, alors la mise en place d'un GIS pourrait être une solution de pérennisation.
• Les prochaines discussions au sein d'Orphée devraient traiter du problème des infrastructures numériques dont les régions/le pays ont besoin au service de la e-education , en différenciant le support à la recherche en e-education (quels services, quels dispositifs, quels ingénieurs ?) et le support aux activités en e-education (quels services, quels dispositifs, quels ingénieurs ?).  
• …